04 Jun 2018 04:34
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<img class="wp-post-image" style="float:left;margin-right:10px;" src="https://www.enamora.de/images/235/52/maison-close-le-petit-secret-ouvert-slip-black-309x447-4.jpg" width="252px" alt="maison close" />Paris va pouvoir profiter à son tour des faveurs des poupées sexuelles réalistes. Afin de les éponger, son frère la confie à la Comtesse, responsable de la Rose des Vents, une maison close de luxe à Paris. Les élus pointent également du doigt le côté "malsain" de cette maison close de poupées. La consultation informatisée d'un corpus de textes permet de repérer quand et à quel propos les écrivains emploient les mots clôture et maison close.
Située dans le 14ème FRENCH KISSES de Paris , cette maison close du 21ème siècle propose des rendez-vous charnels d'une heure minimum (89 €) avec une poupée en silicone. Pour Joachim Lousquy, le fondateur de l'établissement âgé de 29 ans, il ne s'agit que d'une audacieuse entreprise "de place de jouets sexuels ".
Séquence insolite lors de "Télématin" : une équipe de France a fait la visite d'une maison close à la frontière entre la France et l'Allemagne. Au conseil de Paris, le président du groupe communiste Nicolas Bonner Oulaldj, accompagné des élus de son groupe, ont décidé de déposer un voeu afin d'obtenir la fermeture de l'établissement.
« Il n'y a pas une réelle demande de la portion du public, mais au bout d'une semaine, sans faire de publicité, j'ai déjà quelques clients qui sont venus », déclare Fabrice Jacobs à nos confrères de la DH. Le propriétaire de cette première maison close de poupées gonflables en périphérie bruxelloise se dit satisfait de ce nouveau lieu de fantasme.
Le Conseil de Paris a rejeté ce jeudi 22 mars la proposition du groupe communiste visant à interdire ce commerce , accusé de promouvoir "une image dégradée des femmes, avec des ambiances sonores qui peuvent évoquer le viol". « Il n'est pas question de femmes, mais de sextoys géants », lance d'emblée Joaquim Lousquy, le fondateur du premier bordel de poupées sexuelles à Paris.
Selon Nicolas Bonnet, le président du groupe communiste-Front de gauche au Conseil de Paris, «Xdolls véhicule une image dégradante de la femme», et constitue «un lieu de prostitution avec un propriétaire pouvant être assimilé à un proxénète », confie-t-il au Parisien «Xdolls a été déclaré au registre de commerce en tant que maison de jeux comme si c'était une salle avec des baby-foot ou des flippers», dénoncent les communistes.
Pour le groupe d'opposition UDI-Modem, il n'y a ainsi « pas de quoi fouetter un chat sadomaso ». D'autres ont été prompts à pointer du doigt que le problème à Paris n'était pas une maison close de poupées sexuelles mais bien la prostituion en elle-même.
Pour lui, ces poupées gonflables, semblables à des «robots sexuels» «peuvent faire penser à des enfants» (fabriquées en Chine, les poupées ne mesurent qu'1m45), et l'ensemble du projet, qui «banalise la prostitution», représente «un moyen détourné pour amener l'acceptation par l'opinion du retour des maisons closes».
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